À la rencontre de Merwan Chettir, l'Archélogue défaiseur des pronostics sociaux

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Le parcours de Merwan Chettir est éloquent en courage, détermination, réalisation, mental et reconnaissance surtout envers sa Mère qui l'a touché soutenu et accompagné vers le meilleur de ses capacités. Merwan a souffert de quelque chose dont souffrent énormement de jeunes, c'est le manque d'un dispositif à l'écoute de leurs potentiels dans leur parcours scolaire. Ce qui peut causer énormément de perte intellectuelle pour le corps de l'enseignement qui souffre d'un manque d'écoute auprès des élèves. Ils sont nombreux à quitter le cursus scolaire parce qu'ils ne s'y retouvent pas, les plus patients y restent par manque de conviction car ils ne se sentent pas compris. Merwan fait partie de la catégorie des plus patients qui ont été perturbés dès les débuts de leurs parcours, par un Professeur ou un Enseignant qui n'a pas su saisir leur potentiel, vous saurez pourquoi en lisant l'article.

" Freiné par le système scolaire et les réalités financières, il a su faire des blocages, des forces, des difficultés, des opportunités, des situations décourageantes, un processus de dépassement de soi. Ce qui l'a permis de devenir un Archélogue polyglotte, vivant actuellement à Londres et travaillant à Londres. Il a su rajeunir le métier d'Archéologie que semble vieillot pour le grand public grâce à son style, sa passion pour le breakdance, son ouverture à l'écosystème (le M-Club dont il est un des membres, d'autres réseaux similaires)."

Nous avons observé chez Merwan à travers son parcours et nous avons eu trouvé une personne en mouvement dès le jeune âge. Passionné de Breakdance (le mouvement) puis d'Archéologie (fouiller pour chercher les réponses dans le passé), il a voyagé dans plusieurs endroits, découvert beaucoup de culture et rencontrer beaucoup de personnes. Ce qui l'a permis de s'ouvrir au monde. Freiné par le système scolaire et les réalités financières, il a su faire des blocages, des forces, des difficultés, des opportunités, des situations décourageantes, un processus de dépassement de soi. Ce qui l'a permis de devenir un Archélogue polyglotte, vivant actuellement à Londres et travaillant à Londres. Il a su rajeunir le métier d'Archéologie que semble vieillot pour le grand public grâce à son style, sa passion pour le breakdance, son ouverture à l'écosystème (le M-Club dont il est un des membres, d'autres réseaux similaires). Nous voulons laissons découvrir Merwan à travers des interviews audios et pour le joindre cliquez sur le lien de son LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/merwan-chettir-284530201/

Pouvez-vous vous présenter à nos lectrices et lecteurs s’il vous plait ?

Je m’appelle Merwan Chettir, j’ai 30 ans, je vis à Londres, j’ai grandi en France et je suis d’origine algérienne. Je suis aujourd’hui archéologue pour le Museum of London Archaeology.

Si vous deviez vous définir en 2 mots, que choisiriez-vous de nous dire et pourquoi ces qualités?

• Curieux, car la curiosité m’a amené à exercer le métier d’Archéologue aujourd’hui et d’avoir pu fouiller dans plusieurs pays dans le monde et de rencontrer des personnes de toutes parts,
• La Persévérance, car j’ai dû persévérer pour arriver à devenir Archéologue en ayant aucun modèle de ce type autour de moi étant plus jeune et faire face aux bâtons dans les roues que j’ai pu connaître.

Pouvez-vous nous parler de votre parcours en archéologie.

Mon parcours est celui d’un gamin qui a grandi dans une cité de province, qui avait un rêve, celui d’être Archéologue plus tard. Pas très bon en classe sauf en Éducation Physique et Sportive (EPS), ce rêve m’a très vite été retiré lorsqu’un Professeur m’a dit que je n’y arriverai pas. J’ai donc poursuivi mon parcours scolaire car l’école était obligatoire. Parallèlement, j’ai fait une rencontre. La Danse, le Breakdance, que j’ai pratiqué avec mes cousins pendant plusieurs années, grâce à cela nous avons appris la Persévérance, comment tomber 99 fois et se relever et réussir au bout de la 100ème.

Nous avons voyager grâce à cela, rencontrer des nouvelles personnes, de nouvelles cultures et nous nous sommes ouverts l’esprit. Après mon Collège, je suis parti au Lycée où j’ai décidé de faire un Baccalauréat STMG option Ressources Humaines que j’ai obtenu aux rattrapages avec 01 en Mathématiques. Une fois le Baccalauréat en poche je suis parti dans une école de sport à Lyon pour pouvoir valider un BPJEPS et continuer ma carrière de danseur. L’école était sur deux années et la première année j’ai dû m’endetter pour financer la première année. D’après le Directeur, si la première année était concluante, des bourses pouvaient être acquises. La deuxième année, j’ai constaté qu’il n’y avait aucune bourse possible et que l’année coûtait 5 000 euros.

"Pas très bon en classe sauf en Éducation Physique et Sportive (EPS), ce rêve m’a très vite été retiré lorsqu’un Professeur m’a dit que je n’y arriverai pas. J’ai donc poursuivi mon parcours scolaire car l’école était obligatoire. Parallèlement, j’ai fait une rencontre. La Danse, le Breakdance, que j’ai pratiqué avec mes cousins pendant plusieurs années, grâce à cela nous avons appris la Persévérance, comment tomber 99 fois et se relever et réussir au bout de la 100ème. "

Obligation de rentrer à la maison, chez ma Mère (avec mes petits frères), je décide alors de revenir à mon rêve d’enfant, celui de devenir Archéologue. Je vais alors à l’Université à Dijon en faculté d’Histoire, en STMG malheureusement on n’apprenait ni les commentaires de texte, ni les dissertations mais on nous demandait de le faire pendant 4 Heures. Je n’avais pas les acquis, je redouble. Je refais alors une année et je redouble à nouveau. Je tente enfin une première année en Histoire de l’Art et d’Archéologie. Et là, la magie opère. Je passe ma première année, je passe ma deuxième année, et je pars faire ma troisième année à l’Université Degli Studi Roma Tre à Rome en Italie. La bas, j’ai cours en Italien, j’ai aussi des cours au Colisée, au Vatican, et tous les samedis dans les différents Musées de Rome.

L’expérience était incroyable. Je valide alors ma Licence et continue mon Master à Bordeaux. Je pars faire des stages au Danemark en Laboratoire ou j’analyse des fragments de livres empoisonnés à l’Arsenic et des analyses de fragments de mosaïques d’une villa de l’époque romaine. Je valide ma première année de Master et je pars ensuite en stage sur l’île de La Réunion, ou je mène des recherches archéologiques sur l’époque coloniale. Un souvenir très intéressant restera celui ou je suis parti à la recherche avec mon Responsable d’un pénitencier pour enfants du XXe siècle en pleine forêt tropicale. À mon retour de stage j’ai repris ma deuxième année de Master en Archéologie. L’année était divisée en deux parties ou la deuxième était composée d’un stage à faire.

"Obligation de rentrer à la maison, chez ma Mère (avec mes petits frères), je décide alors de revenir à mon rêve d’enfant, celui de devenir Archéologue. Je vais alors à l’Université à Dijon en faculté d’Histoire, en STMG malheureusement on n’apprenait ni les commentaires de texte, ni les dissertations mais on nous demandait de le faire pendant 4 Heures. Je n’avais pas les acquis, je redouble. Je refais alors une année et je redouble à nouveau. Je tente enfin une première année en Histoire de l’Art et d’Archéologie. Et là, la magie opère. Je passe ma première année, je passe ma deuxième année, et je pars faire ma troisième année à l’Université Degli Studi Roma Tre à Rome en Italie. La bas, j’ai cours en Italien, j’ai aussi des cours au Colisée, au Vatican, et tous les samedis dans les différents Musées de Rome. L’expérience était incroyable. "

Après avoir validé la partie théorique et pratique j’ai alors été recruté à l’INRAP (Institut National de Recherches Archéologiques Préventives), pendant 10 mois. En parallèle, j’écrivais tous les soirs mon mémoire de Master que j’ai soutenu en novembre 2020 et que j’ai validé avec 17/20. J’entrais alors dans le monde de l’Archéologie professionnelle et après 10 mois à l’INRAP, je suis parti en Suisse à la frontière italienne. Puis Je suis revenu en France au sein de l’INRAP pendant 10 mois à nouveau. Aujourd’hui je suis Archéologue au sein du MOLA (Museum of London Archaeology) dans la Ville de Londres depuis décembre 2022 ou je mène des recherches au cœur de la Ville de Londres.

Parlez-nous de Talker Founders Mic.

Vous trouverez ci-joint mon intervention

Ainsi que le site web de la Founders Mic (cliquez sur le lien).

Le M Club qui souhaite créer un environnement de soutien pour les entreprises, basé sur la solidarité, l'entraide et l'apprentissage mutuel. Les membres veulent maintenir la tradition d'un projet social ou humanitaire. L'un des objectifs est aussi de créer, par exemple, un jury concours pour soutenir les projets dans les quartiers. Le Club souhaite également investir dans des projets, fournir des conseils et mettre en relation les membres avec d'autres réseaux professionnels. Il recherche une ambiance d'apprentissage, d'échange de connaissances et de partage de contacts pour renforcer le réseau. Les membres souhaitent également être inspirés par des personnes ayant des parcours réussis pour stimuler leur propre développement personnel et professionnel.

Citez nous un ou quelques échecs et les leçons apprises par vous

J'ai connu plusieurs échecs, comme mes redoublements successifs, certains étaient causés par le manque de niveau requis, d’autres à cause de l’aspect financier. Les premiers redoublements en 3ème et à l’Université qui étaient liés à mon niveau trop faible en cours. Le fait de n’avoir jamais composé de dissertations ou de commentaires de textes au Lycée et qu’à l’Université (exercice qu'on me demande de faire pendant 4 heures) était tout bonnement impossible et m’a conduit à redoubler 2 fois ma première année en Faculté d’Histoire.

" L’aspect financier m'a empêché de poursuivre mon rêve de devenir Danseur professionnel, il a fallu payer une première année 4 000 euros puis 5 000 euros une deuxième ce qui était financièrement impossible. Au lycée, la Professeure d’Italien me dissuadait de poursuivre mon rêve de devenir Archélogue, en me disant que je n’arriverai pas à parler italien ou que mon niveau d’italien était trop faible. Puis quelques années plus tard je suis parti vivre à Rome, j'ai validé ma Licence en Archéologie ainsi que mon permis de conduire. "

L’aspect financier m'a empêché de poursuivre mon rêve de devenir Danseur professionnel, il a fallu payer une première année 4 000 euros puis 5 000 euros une deuxième ce qui était financièrement impossible. Au lycée, la Professeure d’Italien me dissuadait de poursuivre mon rêve de devenir Archélogue, en me disant que je n’arriverai pas à parler italien ou que mon niveau d’italien était trop faible. Puis quelques années plus tard je suis parti vivre à Rome, j'ai validé ma Licence en Archéologie ainsi que mon permis de conduire. Cela m’a appris la Persévérance, à ne jamais rien lâcher et surtout ne pas écouter les autres.

Quels sont vos projets d’avenir ?

Les projets d’avenir sont multiples :

• l’écriture d’un livre est en préparation,
• des articles scientifiques en collaborations avec différents Chercheur(e)s,
• des interviews, des podcasts, des vidéos, des conférences et bien évidemment,
• pouvoir continuer ma carrière d’Archéologue ici en Angleterre.

Si vous deviez remercier quelques personnes, qui sont elles et que représentent elles pour vous ?

Si je devais remercier des personnes il n’y en aurait qu’une c’est ma Mère qui est présente depuis le début et elle est d’un soutien indéfectible.

Quelles sont les 3 qualités d’un leader ?

• La Pédagogie,
• L’Empathie,
• La Capacité à prendre des décisions.

Que pouvez-vous conseiller aux jeunes générations pour atteindre leurs objectifs ?

Je conseillerai aux jeunes générations pour atteindre leurs objectifs :

• d’essayer tout ce qui se présente à eux,
• d’échouer et d’en tirer des leçons,
• de ne pas écouter tout ce qu’on leur dira,
• d'être curieux, surtout,
• de ne jamais abandonner si le projet leur tient vraiment à cœur.

Citez 3 bienfaits immédiats pour l’entrepreneuriat en Afrique ?

• Ne pas se comparer aux autres continents, mais relever ses propres challenges,
• S’en inspirer pour s'approprier ses propres défis,
• Puiser dans l’Histoire Africaine pour tirer des idées concluantes et convaincantes.

Quelle est la citation parfaite qui résume votre vie ?

« L'impulsion du voyage est l'un des plus encourageants symptômes de la vie »

Quelques mots sur Arcare Concept  

Arcare Concept est un très bon blog qui mets en avant toutes les personnalités issues des pays francophones, qu’ils viennent de France et surtout d’Afrique. L’important est d’avoir une idée, ou un parcours intéressant. Leur accompagnement dans le développement des entreprises est aujourd’hui un réel atout qui ne peut que faire progresser les structures qui souhaiteraient évoluer.

Si vous deviez recommander notre blog à 3 personnes qui incarnent le leadership autour de vous, qui sont elles et quelles sont leurs activités ?

Les deux premières sont mes cousins, ils sont psychologues et préparateurs mentales. Ils cherchent à développer leurs activités et votre blog est un bon support. Et un ami lui aussi préparateur mental.

Soumaïla DIAKITE

Soumaila Diakité est le Fondateur de la start-up Arcare Concept. Il est spécialisé dans la création, le conseil et l'accompagnement des entrepreneurs, notamment dans leur communication et leur stratégie digitale. Il anime également des formations dans la communication digitale des institutions (Collectivités Publiques, Associations, Professions Liberales et Entrepises). Les tarifs sont indicatifs et s'adaptent aux réalités économiques des pays où sont situés nos collaborateurs (France, Mali, espace francophone).

Contacts : soumaila.diakite@gmail.com / Téléphone : 0033 6 65 57 09 87 / Région Hauts-de-France, France

Arcare Concept - Le Blog est un blog dédié à la promotion, la valorisation, la mise en lumière des accomplissements sur le plan individuel et collectif. Il s'agit d'une campagne stratégique (sur le court, moyen et long germe), une institution de guerre économique au service des talents, des leaders, des parcours singuliers, des projets et des entreprises qui concourent au rayonnement de l'espace francophone. Notre média souligne avec attention son intérêt pour la diversité, notamment les personnes issues de la communauté africaine qui osent faire bouger les lignes pour montrer une autre Afrique. Une Afrique qui se traduit par l'ambition, la créativité, l'humanité, la promotion de la culture de l'excellence, l'évolution (dans le bon sens) mais aussi le partage des valeurs traditionnelles et ancestrales (utiles) sans oublier la modernité.

Lire aussi : À la rencontre Modibo Coulibaly Massaké, un jeune solidairement ambitieux

Tandis que les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leurs compétences ainsi que leur portefeuille d'adresses arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique. Ceux qui frappent aux bonnes portes, au bon moment, qui bravent des obstacles inimaginables finissent par développer une grande empathie pour les autres. Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour pouvoir espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées.

" Les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leurs compétences ainsi que leur portefeuille d'adresses arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique."

Grâce à ce blog nous avons interviewé des hommes et des femmes aux parcours fascinants. Des exemples de réussite sur nos territoires, parmi la diaspora africaine à travers le monde et dans de nombreux domaines (beauté, cinéma, musique, santé, beauté, communication...). La puissance des médias est humainement, socialement, économiquement illimitée dans un contexte d'avènement des technologies de l'information et de la communication. Les Africains d'origine et ceux de la diaspora doivent donc s'unir pour faire bloc, à ce manque de présence (active) de leur part dans la sphère médiatique car ils sont peu ou pas représentés. Entre les deux perspectives nous avons une communauté mal représentée par les médias qui sont rarement bienveillants (dans un cas) ou peu compétents en la matière (dans d'autres cas) car ignorants face à nos réalités.

"Les Africains d'origine et ceux de la diaspora doivent donc s'unir pour faire bloc, face à ce manque de présence (active) de leur part dans la sphère médiatique car ils sont peu ou pas représentés. Entre les deux perspectives nous avons une communauté mal représentée par les médias qui sont rarement bienveillants (dans un cas) ou peu compétents en la matière (dans d'autres cas) car ignorants face à nos réalités."

La communauté africaine a besoin de médias comme Arcare Concept - Le Blog qui facilite la promotion ainsi que la valorisation du parcours de ses invités, celle de leurs produits, services ou professions sans oublier que nos contenus favorisent le réseautage et la mise en relation entre les professionnels. Enfin ce qui fait la spécificité du média Arcare Concept - Le Blog c'est notre politique RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises cliquez sur Modibo Charity Concept, pour en savoir plus) qui consiste à promouvoir financièrement des porteurs de projet à travers la rédaction d'articles de ce genre pour les entreprises, les associations, les collectivités territoriales, les start-up, la société civile et les porteurs de projet. Avec notre rémunération nous finançons un porteur de projet (ou plusieurs).

Promouvoir votre business ou entrer en contact avec des professionnels compétents sur

Arcare Concept Diary

Le financement de ces projets se fait sur 2% de nos ressources financières par article écrit. Avec plus de 170 articles à notre actif, la connaissance du terrain et les aspirations de la jeunesse, nous sommes arrivés à la conclusion, chez Arcare Concept - Le Blog, que l'Afrique n'est plus effrayée par le succès, avec ou sans les diplômes qui créent un décalage dévalorisant entre le monde francophone et la population active. Durant des années ce décalage emprisonne les potentiels, étouffe les perspectives, détruit des avenirs dans l'espace francophone et plus particulièrement dans l'Afrique francophone. Ce décalage qui consiste à croire que c'est le diplôme qui fait la réussite, détermine, souvent de façon réductrice, les aptitudes des hommes et des femmes qui les acquièrent.

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Pourtant le pourcentage de jeunes diplômés (et multidiplômés) ne cesse de s'accroître au sein de la communauté des chômeurs et des personnes sans perspectives d'avenir. Tandis que les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leur compétence ainsi que leur portefeuille (d'adresses) arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique. Ceux qui frappent aux bonnes portes, au bon moment, qui bravent des obstacles inimaginables finissent par développer une grande empathie pour les autres.

"Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées.

Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées.

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