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Arcare Concept - Le Blog est un blog dédié à la promotion, la valorisation, la mise en lumière des accomplissements sur le plan individuel et collectif. Il s'agit d'une campagne stratégique (sur le court, moyen et long germe), une institution de guerre économique au service des talents, des leaders, des parcours singuliers, des projets et des entreprises qui concourent au rayonnement de l'espace francophone. Notre média souligne avec attention son intérêt pour la diversité, notamment les personnes issues de la communauté africaine qui osent faire bouger les lignes pour montrer une autre Afrique. Une Afrique qui se traduit par l'ambition, la créativité, l'humanité, la promotion de la culture de l'excellence, l'évolution (dans le bon sens) mais aussi le partage des valeurs traditionnelles et ancestrales (utiles) sans oublier la modernité. Grâce à ce blog nous avons interviewé des hommes et des femmes aux parcours fascinants. Des exemples de réussite sur nos territoires, parmi la diaspora africaine à travers le monde et dans de nombreux domaines (beauté, cinéma, musique, santé, beauté, communication...). La puissance des médias est humainement, socialement, économiquement illimitée dans un contexte d'avènement des technologies de l'information et de la communication. Les Africains d'origine et ceux de la diaspora doivent donc s'unir pour faire bloc à ce manque de présence (active) de leur part dans la sphère médiatique car ils sont peu ou pas représentés. Entre les deux perspectives nous avons une communauté mal représentée par les médias qui sont rarement bienveillants (dans un cas) ou peu compétents en la matière (dans d'autres cas) car ignorante de nos réalités.

"Les Africains d'origine et ceux de la diaspora doivent donc s'unir pour faire bloc à ce manque de présence (active) de leur part dans la sphère médiatique car ils sont peu ou pas représentés. Entre les deux perspectives nous avons une communauté mal représentée par les médias qui sont rarement bienveillants (dans un cas) ou peu compétents en la matière (dans d'autres cas) car ignorante de nos réalités."

La communauté africaine a besoin de médias comme Arcare Concept - Le Blog qui facilite la promotion ainsi que la valorisation du parcours de ses invités, celle de leurs produits, services ou professions sans oublier que nos contenus favorisent le réseautage et la mise en relation entre les professionnels. Enfin ce qui fait la spécificité du média Arcare Concept - Le Blog c'est notre politique RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises cliquez sur Modibo Charity Concept, pour en savoir plus) qui consiste à promouvoir financièrement des porteurs de projet de deux manières différentes :

• à travers notre campagne de crowfunding saisonnière, qui permet de soutenir notre développement et financer à hauteur de 10 € ou 6 500 FCFA un projet social ou économique utile (sur chaque 100 € ou 65 000 FCFA que nous recevrons de nos donateurs).
• à travers la rédaction d'articles de ce genre à hauteur de 80 € ou 52 000 FCFA pour les entreprises, les associations, les collectivités territoriales, les start-up, la société civile et les porteurs de projet. Avec notre rémunération nous finançons un porteur de projet (ou plusieurs). Le financement de ces projets se fait sur 2% de nos ressources financières par article écrit.

Avec 130 articles à notre actif, la connaissance du terrain et les aspirations de la jeunesse, nous sommes arrivés à la conclusion, chez Arcare Concept - Le Blog que l'Afrique n'est plus effrayée par le succès, avec ou sans les diplômes qui créent un décalage dévalorisant entre le monde francophone et le potentiel de sa population. Durant des années ce décalage emprisonne les potentiels, étouffe les perspectives, détruit des avenirs dans l'espace francophone et plus particulièrement dans l'Afrique francophone. Ce décalage qui consiste à croire que c'est le diplôme qui fait la réussite, détermine, souvent de façon réductrice, les aptitudes de l'homme et la femme qui l'acquièrent. Pourtant le pourcentage de jeunes diplômés (et multidiplômés) ne cesse de s'accroître au sein de la communauté des chômeurs et des personnes sans perspectives d'avenir.

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Tandis que les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leurs compétences ainsi que leur portefeuille d'adresses arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique. Ceux qui frappent aux bonnes portes, au bon moment, qui bravent des obstacles inimaginables finissent par développer une grande empathie pour les autres. Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour pouvoir espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées.

" Les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leurs compétences ainsi que leur portefeuille d'adresses arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique."

'' Le travail c'est la santé.'' (Anggun) Cette citation trouve tout son sens lorsqu'on parle du parcours de Mounaissa Bagayogo issue d'une famille travailleuse. Fille d'un Mécanicien et d'une Ménagère, il a été inculqué très tôt à Mounaissa l'amour du travail. Encouragée par sa Mère vers le devoir civique, Mounaissa s'est engagée dans la vie associative pendant ses années lycée. Or nous ne cesserons jamais de dire que l'intégration dans la vie associative est une véritable formation à l'école de la vie pour notre jeunesse. C'est aussi un parcours qui permet la rencontre des personnes issues de milieux différents. Le meilleur exemple pour parler de l'importance du secteur associatif dans l'économie c'est l'exemple français, le pays d'adoption de Mounaissa : selon l'associathèque la France compte 1 500 000 associations actives (d'après un rapport de Juin 2021). Un nombre qui peut dépasser 1,5 million si l'on compte les associations moins ou peu actives.

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Avec une démographie de 67 407 241 habitants en 2021, on estime 1 association française pour 44,93 Français : " 113,3 milliards d'euros, soit environ 3,3 % du PIB français : tel est le budget cumulé des associations actives, en évolution annuelle moyenne de 1,6 % entre 2011 et 2017. Seules 10,6 % des associations ont eu recours à de l'emploi salarié, soit 159 associations. À elles seules, elles emploient 1 850 000 salariés, à temps plein ou partiel. En progression de 2,4 % entre 2011 - 2017, tandis que la masse salariale a augmenté de 11,1 % sur la même période. En outre, les associations utilisent les compétences de près de 22 millions de bénévoles actifs. Elles ont bénéficié de 31 272 000 participations bénévoles représentant un volume de travail bénévole de l'ordre de 1 425 000 emplois en équivalents temps plein (ETP). La croissance en volume du bénévolat est de l'ordre de 4,9 % par an, ce qui est considérable. La part des financements publics passe de 51 % à 44 % des ressources financières des associations (20 % de subventions publiques et 24 % de commandes publiques ; contre respectivement 25 % et 24 % en 2011). Les financements privés (56 % des ressources financières, contre 51 % en 2011) proviennent surtout de la participation des usagers (42 % des budgets associatifs), puis des dons et du mécénat (5 %). Ces financements ont, quant à eux, crû à un rythme annuel plus soutenu, de 3,5 % sur la même période.

• 64 % des associations sont dirigées par des hommes.
• 31 % des présidents sont des professions libérales, des cadres moyens et supérieurs.
• 41 % ont plus de 65 ans." (associathèque)

Le travail c'est la santé, une citation qui parle à tous ces volontaires qui agissent pour changer leur vie et celle des autres. Mounaissa fait partie de ces personnes déterminées à agir ainsi. Adepte de l'effort associé à l'ambition et au savoir-faire, elle a lancé son entreprise spécialisée dans le secteur des jouets et pas n'importe quel secteur, celui des poupées noires. Lorsqu'on constate notre retard sur sujet qui constitue une filière économique qui touche à beaucoup de domaines (la confection, l'ingénierie, l'assemblage, le stylisme, le design, etc.), nous ne pouvons qu'encourager Mounaissa qui a déjà des idées pertinentes voire révolutionnaires. Les petites filles africaines, qui sont en Afrique ou dans la diaspora africaine commencent seulement à être remarquées par les grandes enseignes de jouets qui voient de plus en plus les opportunités économiques adaptées à la communauté noire.

Il est donc temps pour les membres de cette communauté d'avoir leur mot à dire concernant l'avenir économique de ce secteur à travers l'action la plus concrète. Celle de créer des entreprises de jouets qui offrent des produits et des services de qualité, qui innovent, qui investissent dans la recherche et le développement et surtout donnent de l'emploi, de préférence à cette communauté noire longtemps isolée des profits engendrés par le secteur des jouets (en l'occurrence de la représentation imaginaire des jouets). Nous vous laissons découvrir le parcours de Mounaissa et l'entreprise Poupée Deni. Vous pouvez la suivre sur Instagram, mieux encore, commander vos poupées noires pour vos filles et nièces : valoriser le business d'un membre de la communauté c'est valoriser d'une certaine manière l'avenir de nos enfants. Elle offre une diversité de poupées noires, avec des tenues traditionnelles, des poupées conçues pour faire un clin d'œil à notre riche culture africaine. Nous avons aimé l'offre professionnelle de Poupée Deni et nous vous la recommandons. Pour accéder à la page Instagram vous pouvez également cliquer sur les images ci-dessous.

Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Bonjour, je m’appelle Mounaissa BAGAYOGO, je suis une Malienne de 24 ans résidant en France notamment à Clermont FERRAND depuis plus de 4 ans aujourd’hui. Je suis depuis peu Entrepreneur dans le secteur des jouets, fondatrice de la marque Poupée déni.

Si vous pouviez vous définir en 3 mots que choisiriez-vous de nous dire et pourquoi ?

Je suis :

• perfectionniste, je peux me prendre la tête pour « juste des détails » diraient certaines personnes mais c’est bien plus que ça pour moi. Quand je visualise dans ma tête le rendu que devrait avoir quelque chose comme par exemple une photo ou une vidéo d’un de mes articles, je n’aurai de répit que lorsque je l’aurais obtenu.
• travailleuse, on dit souvent dans ma ville Mounaissa aime l’argent cela n’est pas faux du tout mais ce qui l’est encore moins est que Mounaissa n’aime pas ne rien faire. Le travail est d'autant plus un impératif pour moi que je suis d’une famille très modeste. Donc je n’aime pas me sentir impuissante face à leurs problèmes. 
• ambitieuse ou rêveuse, je ne sais pas. Mais quoi qu’il en est je nourris énormément d’espoir en mon avenir.

Pouvez-vous nous parler de votre parcours ?

Une petite timide depuis le bas âge, à ma rentrée au lycée j’ai commencé à me découvrir une passion pour la prise de parole (des prises de parole préparées). Poussée par ma Mère je commence à m’intéresser à la vie associative de mon lycée ‘’La Lumière’’. J'ai commencé dans le cadre associatif en étant Chargée de communication et par la suite Présidente du Comité Culture. J’ai alors multiplié les concours d’art oratoire, d’écriture avec l’Institut Français avant de me faire remarquer par les associations notamment la Jeune Chambre Internationale qui est devenue une deuxième famille pour moi. J’y ai fait mes premières armes de la vie et elle m’a vue et accompagnée dans ma progression. Après l’obtention de mon BAC je débute un DUT (Diplome Universitaire de Technologie) en Gestion d’Entreprise et d’Administration (GEA) avant de m’envoler pour la France, pour mon plus grand plaisir. Arrivée en France, je débute une Licence en Comptabilité et Finance à l’Université de Clermont FERAND après l’obtention de laquelle je débute un Master en Ingénierie Logistique à l’IAE (Institut d'Administration des Entreprises) de Clermont FERRAND.

Parlez-nous de Poupée Deni ?

Le nom Poupée Deni ? Eeh non je n’ai pas cherché loin car c’est par ce nom que les poupées sont communément appelées au Mali. Poupée Deni est une marque de poupée malienne qui au travers du jeu veut valoriser la peau noire et la culture malienne auprès de nos touts petits. La poupée, ce jouet que nous avons eu, pour certaine la chance d’avoir, était bien souvent blanche : « Je pense que pour un enfant, jouer avec des poupées de la même couleur lui permet d’une part de s’identifier à la poupée mais également de développer sa confiance et son estime de soi. » Poupée Deni vous donne l’occasion d’offrir de magnifiques poupées avec des tenues à la fois modernes et traditionnelles. Elles sont disponibles à Bamako et en livraison dans les régions.

Quelle est l’originalité de votre offre dans le secteur du jouet ?

Malheureusement, depuis la tendre enfance la petite fille noire est confrontée à des standards de beauté inatteignable ou au détriment de sa santé. Et là je parle de la dépigmentation qui est un véritable fléau sanitaire de nos jours. L’originalité de notre produit si je peux me permettre de le dire comme ça, réside dans leur couleur de peau des poupées et les magnifiques tenues traditionnelles ou modernes d’elles arborent. 

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Citez-nous un ou plusieurs échecs et les leçons apprises par la femme que vous êtes aujourd’hui ?

Depuis deux à trois ans maintenant je nourris une envie folle de retourner définitivement au Mali. Mais cela reste très mal compris par une certaine personne de mon entourage ou de la famille : « Mais pourquoi tu veux revenir au Mali, nous, on cherche à partir toi tu veux revenir » ou « Il n’y a rien ici, fantagna bena an fagua » (qui signifie : il n'y a rien ici, nous subissons la pauvreté) ou encore « Cherche-toi un blanc et reste là-bas ».

" Quand on a une famille qui compte sur soi  financièrement il est dur de se lancer à corps perdu dans l’entreprenariat. "

Quand on a une famille qui compte sur soi financièrement il est dur de se lancer à corps perdu dans l’entreprenariat. Car cette prise de risque n’engage pas que soit.  La leçon ? Savoir faire la part des choses. La famille reste une institution sacrée mais ne mettez pas vos ambitions en cage. Au jour d’aujourd’hui je n’ai en soi pas d’échec. Ce n’est aucunement prétentieux mais juste un ressenti. En répondant à cette question je réfléchis mais rien ne me vient à l’esprit qui me semble être un échec.

Quels sont vos projets d’avenir ?

Ma Mère a l’habitude de me dire cette citation « sa dogolé de be kogo » (qui signifie le serpent caché est celui qui a le plus de chance de survivre et devenir énorme). Je ne dirai pas que je suis superstitieuse mais un peu quand même. Pour l’avenir je veux développer Poupée Déni de sorte qu’il y est plus de diversité dans l’offre dans le sens où je voudrai des poupées albinos, les poupées avec différentes nuances de peau noire, des poupées avec différente physionomie ainsi que des poupées avec les cheveux crépus.

Si vous devez remercier quelques personnes qui sont-elles et que représentent-elles pour vous ?

Impossible pour moi de faire des remerciements sans qu’il y figure le nom de mes parents, ma MèreTata Sidi TOURE et mon Père Ibrahima BAGAYOGO. Respectivement une Ménagère et un Mécanicien qui ont tout donné pour que je puisse avoir une très bonne éducation. Je ne les remercierai jamais assez de la chance qu’ils m’ont offert. Je remercie Aissa Toure, elle est à la fois ma fille, ma tante ainsi qu’une mère. Merci à elle de m’avoir nourrie, blanchie, logée et par-dessus tout aimée et cela du début jusqu’à la fin de mes études. Mon mari sera fâché mais je ne peux en mettre que trois.

Quelles sont les 3 qualités d’un leader selon vous ?

Je ne suis pas un leader en soi mais pour en avoir côtoyé pour moi un leader c’est :

• un bon communicant : je pense que c’est primordial de savoir communiquer. Les mots qu’il faut dans la bonne situation et au moment opportun.
• un fédérateur : il est dur de rallier les autres à ses idées sans les opprimer ou les frustrer par rapport aux leurs. 
• un confiant : pour moi la confiance en soi conditionne la confiance que les autres auront en nous. 

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Que pouvez-vous conseiller aux jeunes générations pour atteindre leurs objectifs ?

Y croire quoi qu’il arrive et se donner à fond pour l’atteinte de son objectif. Mieux vaut des remords que des regrets, de sorte à ne pas avoir à se reprocher le fait de ne pas voir essayé.

Citez trois bienfaits immédiats de l’entreprenariat en Afrique ? 

• l’emploi : permettre à des pères et mères de famille de subvenir à leurs besoins, c’est générer des pouvoirs d’achat qui par la suite contribuent à toute l’économie.
• les impôts : les impôts collectés auprès des entreprises serviront à financer les infrastructures, les hôpitaux et bien d’autres encore.
• les bienfaits sont innombrables, mais pour moi le plus important de tous est le fait de créer des vocations, faire rêver les plus jeunes dans le bon sens, qu’ils se disent pourquoi pas moi ?

Quelle est la citation parfaite qui résume votre vie ?

« Il n’y a point de vie sans difficultés ». 

Si vous devez recommander notre blog à 3 personnes qui incarnent le leadership autour de vous qui sont-elles et quelles sont leurs activités ?

Je recommande : 

• mon Mari Alou Adessé DAMA, Chercheur à la FERDI,
• ma Tante, par la force de la vie, FOULEMATA FOFANA, mère de famille et humanitaire une vraie fédératrice pour la bonne cause. 
• Hatoumata Danioko, une amie et une militante pour les droits des femmes.

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Quelques mots pour Arcare Concept ?

Merci, merci de nous mettre en lumière, merci pour le travail accompli et le dévouement et d’entrepreneur à entrepreneur Soumaila Kotié DIAKITE, je te souhaite la réussite.

Soumaïla DIAKITE

Soumaila Diakité est le Fondateur de la start-up Arcare Concept. Spécialisé dans la création, le conseil et l'accompagnement des entrepreneurs, notamment dans leur communication et leur stratégie digitale. Il donne anime également des formations dans la communication digitale des institutions (Collectivités Publiques, Assoications, Porofession Liberale et Entrpise).

Contacts : soumaila.diakite@gmail.com / Téléphone : 0033 6 65 57 09 87 / Région Hauts-de-France, France

Quelques unes de nos Prestations 

• Annonce publicitaire de vos offres d'emploi (Collectivités, Entreprises, etc.) à partir de 70€ 
• Rédaction de CV professionnel à partir de 70€
• Rédaction d'article professionnel à partir de 80€
• Promotion d'affaires (Entreprises, Cabinets, etc.) à partir de 120€
• Rédaction de storytelling à partir de 250€
• Rédaction de dossier presse à partir de 300€
• Rédaction de plaquette commerciale à partir de 350€
• Community Management à partir de 400€
• Graphisme ou infographisme à partir de 500€
• Création de site internet à partir de 1 000€
• Design (logo, stylisme, mode) à partir de 1 500€