« La valeur d'un homme ne se mesure pas à son argent, son statut ou ses possessions. La valeur d'un homme réside dans sa personnalité, sa sagesse, sa créativité, son courage, son indépendance et sa maturité.» (Mark W.B. Brinton)
Les élections présidentielles approchent à grand pas dans un contexte où ces qualités et ses aptitudes (citées ci dessus) sont essentielles pour le Mali aux portes du nouvel ordre mondial. Il est dans l'ordre logique des choses, que les maliens abordent cette opportunité avec un programme de développement cohérent en matière de reforme agricole, territoriale, sécuritaire, sanitaire, professionnelle, économique, sociale et énergétique. Un Programme qui a pour objectif de résister au temps des urnes, des pactes politiques et des paresses intellectuelles aboutissant à des actions timides. Ce même Programme apte à tirer (avec méthodologie) le peuple malien de sa zone de confort (confortée par des idées reçues comme l'impossible projet de développement du Mali et/ou de l'Afrique à cause de la pauvreté, l'injustice, la corruption et la mainmise de l'occident sur les ressources naturelles) : autant de prétextes psychologiquement ancrées dans la conscience commune (58 ans seulement après la fin de la colonisation).
Cet Homme des valeurs est largement incarné par le candidat du Rassemblement pour le Développement du Mali (RpDM). Il s'agit de Cheick Modibo Diarra, connu pour avoir travaillé pendant des années à la National Aeronautics and Space Administration (NASA). Ce soixantenaire à la personnalité bien trempée fait preuve d'une sagesse profonde, un gout pour la créativité qui ne se réalise selon lui qu'avec de la persévérance, l'autonomie et l'expérience : oui nous répétons des mots avec leurs synonymes, mais cet exercice intellectuel est nécessaire pour parler de la personnalité (sans synonyme) de ce leader dans l'âme et dans les actions.
Né dans une famille paysanne (sur plusieurs générations), il s'est astreint à vivre l'expérience des agriculteurs (et à se confronter à leurs réalités) en cultivant les terres des ses ancêtres ainsi que les siennes pendant plusieurs années (en 2007 il finit par délégué ce travail afin de se tourner vers d'autres défis). Politiquement inconnu du public malien jusqu'en 2011, date à la laquelle il fonda le RpDM, Cheick Modibo Diarra était personnellement occupé à se former, à former les jeunes générations dans les plus grandes universités du monde ou tenir des fonctions de direction dans les plus grandes multinationales comme Microsoft. Sous-estimé par les observateurs politiques les plus avisés à cette époque, le parti et son leader souffrent de cette étiquette "d'homme d'affaire inapte à mener la bonne politique" (classique à laquelle les maliens sont habitués et qui a montré ses limites depuis la fin des années 1990). Malgré les coups du sort et les circonstances, il a pourtant fait preuve d'une gouvernance exemplaire pendant ses fonctions de premier ministre (lors de la transition), un mérite salué par l'ensemble des experts dans la sphère politico-civile.
"Un outsider aux multiples tours dans son sac"
Le parcours d'un tel leader est à prendre avec le plus grand sérieux pour le renouveau du Mali (loin des avis politiques teintés de subjectivité) : né et grandi au Mali, Cheick Modibo Diarra a étudié et vécu en France (1972 -1978) avant de s'installer aux États-Unis (1979 - 2002), puis il retourna en Afrique pour être le premier Chief Executive Officer (CEO) de l’Université Virtuelle Africaine. Ce vécu nous permet déjà de le différencier des autres politiques grâce à :
- sa vision enrichie par les cultures issues des pays d'Amérique, d'Europe, d'Afrique de l'Est et du Sud qui sont sur les traces des Tigres Asiatiques (il s'agit des pays émergents que sont la Thaïlande, la Malaisie, l'Indonésie, le Viêt Nam et les Philippine).
- sa maîtrise de la gestion des projets d’envergure notamment au sein de la NASA et de Microsoft qui pèsent plus que des états.
- la dimension paysanne de sa personnalité qui lui permet de garder les pieds sur terre auprès de la réalité et la priorité vis-à-vis du contexte africain.
Cheick Modibo Diarra confirme donc l'attente de plus en plus de Maliens qui veulent un changement. Soutenu par des personnalités comme Moussa Mara (à la tête du parti Yelema) ou de Aminata Dramane Traoré (militante altermondialiste et auteur), le candidat du RpDM nous rappelle aussi ce nouvel homme de l’Afrique, Paul Kagame (le Président de la République du Rwanda et actuel Président de l'Union Africaine) qui ne cesse de propulser le Rwanda sur la scène internationale. Lisons quelques éloges à son égard :
«Réélu avec plus de 98% des voix lors de l’élection du 4 août passée, c’est devant un parterre de Chefs d’Etats africains et environ 30.000 Rwandais que Paul Kagamé a prêté serment ce 18 août, au stade Amaro. Le Rwandais peut s’enorgueillir, rares sont les prestations de serments qui connaissent un tel ballet de Chefs d’Etats. Pour celui qui est connu pour avoir redressé l’économie du Rwanda et d’être l’homme fort de son développement, sa mission ne fait que commencer. « Le Rwanda revient de loin, très loin et veut aller loin, très loin », a prononcé la ministre rwandaise des Affaires Etrangères, Louise Mushikiwabo, lors de cette cérémonie.
Paul Kagamé pour le meilleur et pour le pire La Banque Africaine de Développement et le FMI considèrent le Rwanda comme un des pays les plus prometteurs sur le plan économique du continent africain. Avec une croissance de 7,9 % de 2010 à 2015, le pays a considérablement réduit le taux de pauvreté, de 56 % en 2005 à 39 % en 2014. De fait, l’impressionnant redressement du Rwanda après le génocide de 1994 fait du pays un modèle en Afrique. Et Paul Kagamé est devenu une référence en ce domaine, chéri par les Occidentaux. Tony Blair, ancien Premier-Ministre du Royaume-Uni n’avait pas du mal à le décrire comme « un visionnaire » et Bill Clinton, comme « l’un des meilleurs dirigeants de notre époque ». (Afrotribune)
Avec ces cartes en main, il est nécessaire pour le peuple Malien de faire une réelle introspection sur lui, son histoire, ses attentes et son avenir, aux portes d'une mondialisation qui redessine un nouvel ordre, composé par des nouvelles donnes aux rebondissements inconnus de tous, sauf des nations laborieuses, peu importe leur géographie : à partir du moment où nous savons ce que nous voulons, Cheick Modibo Diarra nous propose (dans la logique du débat et de l'échange) une reforme sur 10 projets de société tels que l'Administration, l'Agriculture & l'Environnement, le Développement, la Diplomatie & Diaspora, l'Éducation, l'Emploi, l'Homme&Femme, les Infrastructures, la Paix & Sécurité et la Santé.
Soumaïla Kotié Diakité
Rédacteur en chef chez www.arcareconcept.com
Social Média Manager chez Concept 4'part
Diplômé en Master des Projets Numériques (Université Toulouse II)
Master Administration Générale et Territoriale (Université de Limoges)
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