« La résilience, cette capacité à s'adapter face à des féis, obstacles et crises, à rebondir, est le mot-clé de cette revue. » disait Marie-Véronique Deforge, Présidente de Lianes Coopération dans le N°3 de Septembre 2021, de Lianes Coopération. Tandis que selon Berkes et Folke (1988)(5), deux économistes cotés par Dauphiné et al en 2007(6), il y a deux catégories de résiliance : « la première, la résilience réactive, s'appuie sur une réorganisation des éléments constitutifs du système et de leurs interactions. La seconde, la résilience proactive repose sur l'apprentissage et les capacités des sociétés humaines à anticiper sur le futur. Ces deux dimensions de la résilience ne sont pas toujours la résultante d'actions ciblées contre le risque mais s'exercent par le fonctionnement même des sociétés et peuvent se combiner. » (Sources : 5 Berkes F.et Folke C.(éd.)(1988), Linking Social and Ecological Systems, Management Practices and Social Mechanisms for Building Resilience, Cambridge, Cambridge University Press / 6 Dauphiné A., Provitolo D., 2007 La résilience : un concept pour la gestion de risques, Annales de géographie 2007/2 (n°654), pages 115 à 125. )

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L'explication et l'analyse des formes de résilience est un sujet d'entrée, approprié lorsqu'il s'agit de parler du parcours de Bertin Dakouo le Fondateur de Fété Impact Development, un Cabinet de Formation et de Conseil qui a fait ses preuves au Mali, au Niger et en Afrique de l'ouest. Lorsque Fété nous parle de sujets liés à la résilience, comme la gouvernance, la formation et donc l'apprentissage, l'anticipation (intimement liée au conseil) nous sentons une passion professionnelle à travers ses mots et ses explications. Des arguments qui trouvent échos en nous, compte tenu de la dimension (intellectuelle et engagée en faveur du developpement des territoitres du sud) que porte notre média.

«Il nous aligne facilement sur sa vision qui consiste à développer des projets, des programmes, des connexions professionnelles, des réseaux favorables à l'Afrique qui ne doit pas rater le rendez-vous avec son histoire, au risque de repartir encore pour des décennies de retard, à ces dépens. Alors que tout est reuni pour changer l'ordre des choses et faire de l'Afrique un acteur important dans la prise des décisions qui concernent l'avenir du monde, au sein des instances de gouvernance mondiale. »

Il nous aligne facilement sur sa vision qui consiste à développer des projets, des programmes, des connexions professionnelles, des réseaux favorables à l'Afrique qui ne doit pas rater le rendez-vous avec son histoire, au risque de repartir encore pour des décennies de retard, à ces dépens. Alors que tout est reuni pour changer l'ordre des choses et faire de l'Afrique un acteur important dans la prise des décisions qui concernent l'avenir du monde, au sein des instances de gouvernance mondiale. Nous ne vous en disons pas plus, il est fort conseiller de vous laisser decouvrir notre entrevue avec ce visionnaire et vous faire votre propre opinion sur ce génie doué d'humilité.

Vous êtes une Entreprise, une Collectivité, une Association et vous souhaiter developper votre misssion d'être (ou mission d'entreprise) ? Vous êtes au Mali, au Niger ou en sous region? Vous pouvez contacter Fété Impact Development aux adresses suivantes :

• Fété Bertin via LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/f%C3%A9t%C3%A9-bertin-0a0203186/
• Fété Impact Development via Facebook :  https://www.facebook.com/feteimpact

Nos Collectivités locales, nos Petites et Moyennes Entreprises (PME) qui sont le coeur de nos économies, nos Associations d'utilité certaine ainsi que les Réprésentants de la société civile ont besoin de cabinet comme Fété Impact Development. Nous vous laissons découvrir Fété Bertin qui réveille en chacun de nous le sens de la responsabilité et ce sentiment que nous avons notre rôle à jouer dans le développement de nos territoires : où que nous soyons et peu importe ce que nous faisons, à condition d'être dans cette volonté d'apprentissage continuelle, marquée par une dynamique d'amélioration constante de nos savoirs, nos compétences, nos aptitudes, nos ressources. Il nous parle d'une partition collective qui nécessite l'intervention de chacun et non des tentatives laches et individuelles pour s'appropirer des petites victoires, peu impactantes sur l'objectif de faire de l'Afrique ou des pays africains des décideurs importants dans les instances de gouvernance pour le monde.

Pouvez-vous vous présenter à nos lectrices et lecteurs s'il vous plaît ?

Bonjour je m'appelle Bertin Dakouo, je suis associé chez Fété Impact Development.

Pouvez-vous nous parler de Fété Impact Development?

Fété Impact Development est un Cabinet de Conseil et Formation créé en 2014 et qui apporte des services de conseil et de formation aux organisations internationales, dans les secteurs publics et privés. Nous intervenons en termes de conseil dans le volet fonctionnel et sectoriel. Ce qui est assez innovant pour une strucutre aussi jeune comme la notre, évoluant dans le secteur du conseil. Fété Impact Development a 9 ans, nous avons un bureau au Mali et au Niger. Nous ambitionnons de devenir le procahin Mckenzie, et donc exporter notre expertise à l'ensemble des pays, des continents, du monde. Nous voulons que Fété Impact soit une structure qui réfléchisse, conçoive, modélise le développement, les changements, la prospective en Afrique, en Europe, en Amérique et en Asie, donc partout où cela est nécessaire.

Selon vous quels sont les axes prioritaires du développement pour le Mali?

C'est difficile de nommer des axes de façon prioritaire, surtout quand il s'agit du Mali, où tout est urgent, où il n'y a que des besoins auxquels il faut répondre, c'est assez complexe parce que tous les besoins sont pressants, pour l'ensemble des secteurs. Je pense que de façon stratégique il faut distinguer un certains nombres de secteurs clés dont la croissance pourrait conduire au développement de beaucoup d'autres secteurs d'activités. Je parle notamment de l'éducation, il s'agit de mettre en place une éducation de qualité. Je pense que dans les années 1970-80 le Mali etait un vivrier de talents, une référence en matière d'éducation dans la sous-région, un statut qu'on a perdu progressivement. Selon moi, l'éducation s'est éffondrée. Il va falloir rebâtir une éducation solide, élitiste au Mali. C'est en développant cette éducation élitiste que nous pourrons développer les autres secteurs de l'économie. Ensuite la deuxième priorité c'est la technologie. Les technologies sont un investissement qui devrait permettre aux pays du sud de rattraper leur retard de développement.

« Il s'agit pour le Mali de pouvoir développer des pools technologiques, stimuler la créativité des jeunes, l'innovation, l'accès très large aux Technologies de l'Information et de la Communication (TIC), je pense au secteur informatique en général : il faudra mettre en place des programmes performants pour aboutir à un phénomène de créativité en masse, dans une dynamique collective et inter-disciplinaire, à l'échelle nationale pour rattraper le retard technologique. Ce qui peut répondre à plusieurs problèmes de développement : travailler, chercher des solutions et des innovations pour résoudre les différents problèmes fonctionnels, dans les différents secteurs de développement. »

Il s'agit pour le Mali de pouvoir développer des pools technologiques, stimuler la créativité des jeunes, l'innovation, l'accès très large aux Technologies de l'Information et de la Communication (TIC), je pense au secteur informatique en général : il faudra mettre en place des programmes performants pour aboutir à un phénomène de créativité en masse, dans une dynamique collective et inter-disciplinaire, à l'échelle nationale pour rattraper le retard technologique. Ce qui peut répondre à plusieurs problèmes de développement : travailler, chercher des solutions et des innovations pour résoudre les différents problèmes fonctionnels, dans les différents secteurs de développement. Il peut s'agir par exemple de créer des appareils qui vont permettre au secteur sanitaire de pouvoir traiter certaines maladies au Mali, rapporter un certain type de services que le plateau sanitaire n'arrive pas à pourvoir au Mali, ou trouver de meilleures techniques agricoles pour atteindre l'auto-suffisance alimentaire, concevoir des solutions favorables au développement de l'agriculture. Enfin, la question de l'énergie car tout cela est impossible sans l'énergie. L'accès à l'énegrie est vraiment primordial mais il peut être développé de façon simultanée en maximisant les efforts communs sur le secteur technolgique, c'est à dire orienter les actions technologiques vers la production adéquate et diverisifiée de l'énergie. Selon moi le développement de ces 3 secteurs peut créer le boom économique.

Lire aussi :

La Nantes Digital Week vue par un Malien, à la rencontre de Emmanuelle ROUX sur la thématique ''Digital & Social : l'entrepreneuriat de demain."

Dans quelles mesures ces axes sont réalisables sur le court, moyen et long terme ?

Ces axes sont très réalisables, les 3 axes, à savoir, l'éducation, le développement des Technologies de l'Information et de la Communication (TIC) et le secteur de l'énergie. Il existe déjà des politiques en la matière, qui restent obsolètes et qui ne prennent pas en considération les besoins d'innovation, la stimulation de l'intteligencia malienne et de la jeunesse. Je pense que c'est nécessaire d'élaborer aujourd'hui de nouvelles politiques beaucoup plus adaptées aux réalités actuelles.

« Cela permettrait la mise en pratique des politiques assez riches, plus élaborées, permettant d'apporter des réponses idoines sur le court, moyen et long terme. Je pense que c'est la meilleure solution qui consite à travailler de manière collaborative (et non isolée), à reunir les organisations internationales avec celles publiques qui existent sur le plan local. »

Cela permettrait la mise en pratique des politiques assez riches, plus élaborées, permettant d'apporter des réponses idoines sur le court, moyen et long terme. Je pense que c'est la meilleure solution qui consite à travailler de manière collaborative (et non isolée), à reunir les organisations internationales avec celles publiques qui existent sur le plan local. Afin que ces dernières travaillent ensemble, comme des actrices égales, avec l'objectif de réaliser l'implémentation des politiques localement élobaorées. Je pense qu'aujourd'hui les politiques publiques en matière d'éducation, de développement des technologies et aussi matière de production de l'énergie, sont obsolètes. Je pense que c'est l'occasion de rédefinir quelque chose de plus idoine et à partir de là, focaliser les énergies sur la mise en oeuvre de ces politiques.

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Citez nous un ou quelques échecs et les leçons apprises par vous

C'est plus difficile en entrepreneuriat de se souvenir plus de ses reussites que de ces échecs, parce que les reussites sont très peu nombreuses et les échecs énormes. Les échecs sont ce qu'il y a de plus nombreux, ce que les gens voient ce sont les quelques réussites qui nous font briller. Si tout reussissait je pense que la reussite serait beaucoup plus impactante en fait. Donc je ne parlerai pas d'échecs parce que c'est ce qu'il y a de plus récurrent.

Quels sont vos projets d'avenir?

Nous travaillons déjà à étendre Fété Impact dans d'autres pays. Pour le moment nous sommes au Mali et au Niger, nous avons pour objectif de couvrir d'autres pays mais surtout de travailler pour réléver notre capacité d'intervention dans le secteur du conseil et de la formation. Il y a encore beaucoup de choses que nous ne faisons pas pour le moment et il va s'agir, pour nous, de travailler afin d'accompagner nos clients de façon hollistique, de telle sorte que l'ensemble des services pour lesquelles les clients ont besoin à différents niveaux. Pour le moment nous cherchons à relever le niveau jusqu'à ce qu'on atteigne ce standard.

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Si vous deviez remercier quelques personnes, qui sont elles et que représentent-elles pour vous ?

Je remercie :

• Dieu, le Seigneur, lorsque je regarde d'où nous sommes venus et là, où nous sommes aujourd'hui, c'est que la Main de Dieu, vraiment la Main de Dieu, donc je rends grâce à Dieu pour toute la grâce, la sagesse qu'Il nous donne. C'est Lui qui nous guide, nous protège. Si nous sommes là aujourd'hui ce n'est pas grâce à notre intelligence, notre savoir, rien du tout. C'est vraiment par pure Grâce. Donc je dis essentiellement Merci à Dieu.
• toutes les personnes qui ont contribué d'une manière ou d'une autre à ce que Fété Development soit là, je parle notamment de mes collaborateurs, nos clients, nos fournisseurs, mes parents, mes amis qui me soutiennent, merci à tout le monde.

Quelles sont les 3 qualités d'un leader ?

Je pense que le leader c'est quelqu'un:

• qui travaille pour les autres, cette notion est très importante, la notion du don de soi. Le leader c'est quelqu'un qui fait don de soi. Cela est vraiment très important, je pense que c'est ce qui fait le leader de façon fondamentale.
• qui a une vision, pas dans le sens juste d'avoir un rêve, mais dans la capacité à maintenir le cap malgré les turbulences, ça c'est très important. La capacité à rester motiver, regarder l'avenir avec optimisme, même s'il n'y a pas de raison d'être optimiste. C'est cela vraiment que j'appelle la vision.
• qui peut rêver et qui fait rêver, à travers sa vision. Il s'agit de sa capacité à pouvoir impulser cette dynamique chez d'autres personnes, aider ces dernières à comprendre les choses telles qu'il les comprend. C'est aussi la capacité de pouvoir dupliquer la vision chez les autres, les amener aussi à se battre pour s'approprier le rêve, pour sa réalisation .

Que pouvez-vous conseiller aux jeunes générations pour atteindre leurs objectifs ?

Je leur conseille :

• de travailler ensemble, c'est très important. Seul on va vite mais ensemble on va plus loin. Nous ne sommes pas dans une course de vitesse mais nous sommes dans une course de fond, parce que là, il est très important de pouvoir travailler ensemble, avancer ensemble, bien se faire entourer, d'avoir la capacité de faire adherer les gens à la vision.
• de se former, continuer à se former, de façon vraiment inlassable, nous avons en fait, une tendance égoiste en termes de formation. Très généralement on ne veut pas continuer à se former après les études, tant qu'on n'a pas une bourse ou si nos strucutres ne nous envoient pas en formation. Et si nos parents s'etaient décidés à ne pas nous envoyer à l'école, aucun d'entre nous ne seraient là aujourd'hui. C'est dans le sens d'avoir l'amour et le sens de la formation continue que je parle. Parce que chacun d'entre nous doit pouvoir investir dans sa formation et de façon regulière et continue, ça c'est très important. Ce qui fait la différence entre 2 personnes qui ont le même niveau, c'est la capacité d'apprentissage, les différentes et les nouvelles compétences que l'un a de plus que l'autre. C'est ce qui va faire la différence sur le long terme.
• de s'adapter aux très fortes mutations qui se passent dans le monde. Il faut que nous, les jeunes africains, participons à la gouvernance du monde au lieu de la subir. On ne peut pas participer à la gouvernance du monde, aujourd'hui, tant que nous ne sommes pas formés, n'avons pas quelque chose à mettre sur la table. Depuis les années 1945 jusqu'à aujourd'hui l'Afrique a toujours été absent des différentes tables de gouvernance du monde. Je pense qu'au nivrau des instances de gouvernance africaine comme l'Union Africaine et consort, le cri de coeur c'est que l'Afrique participe à la gouvernance du monde. Si nous ratons ce tourant encore, nous serons partis pour une durée de 60 à 70 ans de gouvernance du monde sans l'Afrique. Donc donnons la voix, agissons pour que l'Afrique puisse participer de façon active aux nouvelles instances de gouvernance du monde.

Citez 3 bienfaits immédiats de l'entrepreneuriat pour l'Afrique ?

Je citerai :

• le développement économique,
• l'innovation,
• l'opportunité pour l'Afrique d'influencer la gouvernance du monde.

Quelle est la citation parfaite qui résume votre vie?

Je parlerai de 2 citations :

« La seule chose qu'on est sur de ne jamais reussir est celle pour laquelle on ne s'investit pas. »

« Il n'y a pas de miracle en fin d'année, le miracle c'est chaque tâche bien faite, chaque jour.»

Quelques mots sur Arcare Concept

Arcare Concept est quelque chose de vraiment très intéressant, très innovant, une inititative à encourager. Il faut que vous vous battez pour maintenir cette initiative et surtout continuer à propulser l'univers entrepreneurial du Mali au sommet, encourager les jeunes maliens à aller de l'avant mais surtout, les encourager à prendre la voie pour se faire une place dans les instances de gouvernane du monde. Si l'Afrique rate ce tournant nous sommes repartis pour 70 ans d'esclavage et de gouvernance du monde sans l'Afrique.

Si vous deviez recommander notre blog à une ou plusieurs personnes qui incarnent le leadership autour de vous, qui sont elles et quelles sont leurs activités ?

Je recommande Seidina Ali Sow, CEO H&C Mali.

Soumaïla DIAKITE

Soumaila Diakité est le Fondateur de la start-up Arcare Concept. Il est spécialisé dans la création, le conseil et l'accompagnement des entrepreneurs, notamment dans leur communication et leur stratégie digitale. Il anime également des formations dans la communication digitale des institutions (Collectivités Publiques, Associations, Professions Liberales et Entrepises). Les tarifs sont indicatifs et s'adaptent aux réalités économiques des pays où sont situés nos collaborateurs (France, Mali, espace francophone).

Contacts : soumaila.diakite@gmail.com / Téléphone : 0033 6 65 57 09 87 / Région Hauts-de-France, France

Arcare Concept - Le Blog est un blog dédié à la promotion, la valorisation, la mise en lumière des accomplissements sur le plan individuel et collectif. Il s'agit d'une campagne stratégique (sur le court, moyen et long terme), une institution de guerre économique au service des talents, des leaders, des parcours singuliers, des projets et des entreprises qui concourent au rayonnement de l'espace francophone. Notre média souligne avec attention son intérêt pour la diversité, notamment les personnes issues de la communauté africaine qui osent faire bouger les lignes pour montrer une autre Afrique. Une Afrique qui se traduit par l'ambition, la créativité, l'humanité, la promotion de la culture de l'excellence, l'évolution (dans le bon sens) mais aussi le partage des valeurs traditionnelles et ancestrales (utiles) sans oublier la modernité. Grâce à ce blog nous avons interviewé des hommes et des femmes aux parcours fascinants.

"Les Africains d'origine et ceux de la diaspora doivent donc s'unir pour faire bloc, face à ce manque de présence (active) de leur part dans la sphère médiatique car ils sont peu ou pas représentés. Entre les deux perspectives nous avons une communauté mal représentée par les médias qui sont rarement bienveillants (dans un cas) ou peu compétents en la matière (dans d'autres cas) car ignorants face à nos réalités."

La communauté africaine a besoin de médias comme Arcare Concept - Le Blog qui facilite la promotion ainsi que la valorisation du parcours de ses invités, celle de leurs produits, services ou professions sans oublier que nos contenus favorisent le réseautage et la mise en relation entre les professionnels. Enfin ce qui fait la spécificité du média Arcare Concept - Le Blog c'est notre politique RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises cliquez sur Modibo Charity Concept, pour en savoir plus) qui consiste à promouvoir financièrement des porteurs de projet à travers la rédaction d'articles de ce genre pour les entreprises, les associations, les collectivités territoriales, les start-up, la société civile et les porteurs de projet. Avec notre rémunération nous finançons un porteur de projet (ou plusieurs). Le financement de ces projets se fait sur 2% de nos ressources financières par article écrit.

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Avec plus de 190 articles à notre actif, la connaissance du terrain et les aspirations de la jeunesse, nous sommes arrivés à la conclusion, chez Arcare Concept - Le Blog, que l'Afrique n'est plus effrayée par le succès, avec ou sans les diplômes qui créent un décalage dévalorisant entre le monde francophone et la population active. Durant des années ce décalage emprisonne les potentiels, étouffe les perspectives, détruit des avenirs dans l'espace francophone et plus particulièrement dans l'Afrique francophone. Ce décalage qui consiste à croire que c'est le diplôme qui fait la réussite, détermine, souvent de façon réductrice, les aptitudes des hommes et des femmes qui les acquièrent. Pourtant le pourcentage de jeunes diplômés (et multidiplômés) ne cesse de s'accroître au sein de la communauté des chômeurs et des personnes sans perspectives d'avenir.

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Tandis que les jeunes ambitieux qui connaissent leur valeur et savent mettre en valeur leur compétence ainsi que leur portefeuille (d'adresses) arrivent à exceller dans leur domaine professionnel, avec ou sans diplôme classique. Ceux qui frappent aux bonnes portes, au bon moment, qui bravent des obstacles inimaginables finissent par développer une grande empathie pour les autres.

"Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées."

Ils finissent par développer un leadership à cause de leur expérience humaine qui les fait mûrir et surtout à cause des épreuves que l'écolier ou l'étudiant ignorent tout simplement, à l'exception de ceux qui ont eu un parcours extraprofessionnel dynamique. Parler de cette réalité encore mal comprise par nous (les francophones) pour espérer en sortir sur le moyen et long terme nous semblait nécessaire. De ce fait il devient urgent de songer aux solutions pour résoudre cette réalité vis-à-vis de laquelle nos pays accusent un grand retard, malgré des prises de conscience constatées.

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